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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste: Jérémie
Bigorie La direction de Frieder Bernius, qui surclasse celle d'Adam Viktora (Nibiru), enchante dans la Messe où il parvient à capter l'expression idoine pour chaque séquence de l'ordinaire, graduée de la jubilation la plus communicative (Gloria) jusqu'au recueillement introspectif (Et in terra pax). Le Quoniam tu solus sanctus et le Benedictus tirent avantage du soprano agile de Julia Lezhneva. Le De Profundis pâtit, hélas, de l'effet madeleine provoquée par notre version chérie entre toutes de Lubomir Mátl et l'Orchestre de chambre de Prague (Supraphon, 1982): la magnitude poignante des parties chorales, quand Bernius confie l'entrée aux seuls solistes, et la vélocité des différents solos (hautbois) y demeurent inégalées. |
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