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| Appréciation d'ensemble: | 
     Outil de traduction (Très approximatif)  | 
    
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 Analyste: 
Guillaume 
Bunel La justesse impeccable et l'homogénéité du son servent merveilleusement ces cathédrales polyphoniques, composées par certains des plus grands maîtres de la Renaissance tardive ‑ Victoria, Palestrina, Lassus, Gombert, entre autres. Malgré un haut niveau de professionnalisme, la personnalité du choeur peine à se dégager. D'imperceptibles décalages, un défaut de sûreté dans certains départs laisse supposer que les chanteurs ne sont pas pleinement en confiance. La largeur de l'acoustique et le caractère imposant du choeur (trente‑trois voix) adoucissent les attaques sous un voile cotonneux qui, s'il n'est pas déplaisant, fait perdre un peu de lisibilité au contrepoint, souvent dense et complexe. En dépit de phrasés galbés et d'une vraie maîtrise de la forme, il manque un véritable souffle pour porter le choeur. A conseiller aux amateurs assidus, qui trouveront là quelques raretés de tout premier ordre.  | 
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