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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Tristan Labouret
Alors
qu'il peut compter sur le soutien d'un orchestre solide et attentif qui connaît
cette musique sur le bout des doigts, Biondi se met lui-même en difficulté,
précipitant systématiquement le tempo sans raison apparente. Les mouvements
lents sont aussi régulièrement bousculés par le soliste et le timbre reste sec.
Seuls quelques-uns (RV 282 et RV186) permettent de goûter à un
violon plus chaleureux et à un phrasé apaisé. On reste cependant bien loin du
Biondi maîtrisé et éclatant de La Stravaganza (Virgin, 2011) ou du niveau
des deux précédents numéros vivaldo-violonistiques de la collection : Riccardo
Minasi intense dans le volume IV, Dmitry Sinkovsky très inspiré dans le V. |
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