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Analyste:
Philiippe Venturini C'est de la fameuse collection de Gustav Düben (1628‑1690), conservée à la bibliothèque de l'université d'Uppsala, que vient l'essentiel de ce programme du second XVIIe siècle allemand. Des proches de Schütz tels David Pohle et Johann Theile, côtoient ainsi les aînés de Bach, Johann Michael et Johann Christoph avec son fameux Ach daβ ich Wasers gnug hätte, maintes fois enregistré. Comme on peut l'imaginer, le ton reste sombre malgré le parhélie illuminant Stockholm choisi pour illustration de couverture. Sombre mais pas monochrome, grâce à une habile alternance entre pièces vocales et instrumentales et une appréciable variété des effectifs de cordes (violons, altos, violes) que rejoignent, parfois, la flûte à bec et le basson.
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