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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Philippe Ramin Richard Egarr, comme il aime à le rappeler dans sa préface, n'a pas oublié ses années d'enfant de choeur et sa rencontre décisive avec le compositeur des trois messes. Il a choisi pour son programme Byrd, assez représentatif des formes fondatrices du répertoire pour clavier, un clavecin de type flamand, dont il travaille la matière sonore avec une belle liberté, Mais Egarr n'est pas toujours à l'aise avec les idiomes du langage élisabéthain, notamment dans les fantaisies, où il glisse des ressorts expressifs baroquisants qui malmènent sans vraiment J'enrichir la conduite polyphonique. D'une manière générale, le rapport flou entre détail et structure rend le discours assez décousu.
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