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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Philippe
Venturini LE CLAVIER BIEN REPRESENTÉ Entre orgue et clavecin, Benjamin Alard propose une belle somme Bach. Benjamin Alard se lance dans l’aventure d'une intégrale pour clavier et choisit la route chronologique. Aussi cette première étape nous mène‑t‑elle à Ohrdruf. Le jeune orphelin y est recueilli par son frère aîné, Johann Christoph, avant d'aller à Lunebourg où il côtoie Georg Böhm, puis à Arnstadt où il assume, à dix‑huit ans, son premier poste d'organiste.
Benjamin Alard
évolue entre l'orgue Silbermann de l'église Sainte‑Aurélie de Strasbourg et un
clavecin d'Émile Jobin, inspiré d'un Ruckers et d'un Dulken, mis en valeur par
la prise de son d’Alban Moraud: à la sonorité voluptueuse et naturellement
chantante du premier répond la clarté polyphonique et la légèreté du second. |
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