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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Sophie Roughol Guido Balestracci l'aborde « avec la réflexion que l'on chante à Dieu des choses divines ». La préface appelle des « Musiciens virtuoses, ayant une juste mesure du temps, un soutien de la voix parfait, une clarté de prononciation des mots bien articulés, et une intonation juste » : la mission est accomplie avec Caroline Pelon et Mélodie Ruvio. Marcello souhaite un « ripieno nombreux et proportionné de différentes basses » : Balestracci impose son instrument de coeur, une basse de viole miroir et égale de la voix, orante et éloquente, joue sur les timbres de ses comparses de L'Amoroso (violoncelle, violone, théorbe et claviers, et violes passant dans l'aigu pour le Psaume 21 avec « violette »). Une belle sonate pour violoncelle et viole de gambe de l'Opus 2 fait d'ailleurs office de portique. Suivre le texte de la méditation s'impose pour s'imprégner de cette éloquence exigeante et raffinée.
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