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Appréciation d'ensemble:
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Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jean-Philippe
Grosperrin Une page d'exercices, toujours la même, pendant six ans : la légende de ce Porpora maître de chant du castrat Caffarelli est aujourd’hui éclipsée par l'oeuvre tangible du compositeur ‑ économie confondante de la variété, subtilité des climats expressifs, fusion de la technique dans une dignité touchante. Dans le sein de Naples aussi, on savait cacher l’art par l’art même. Max Emanuel Cencic, dont la voix aux coloris pleins, inimitables, s’épanouit plus librement que dans le récent Germanico in Germania (cf nº 666), est absolument l’homme qu’il fallait à cet hommage surplombant la carrière de Porpora entre la péninsule, Londres et Dresde (l726‑1747).
Or l’orchestre de George Petrou est justement partie prenante de la réussite,
non pas accompagnateur, mais acteur du corps organique de ces airs, avec une
acuité et une imagination sensationnelle, en accord avec l’esprit du chanteur :
triomphe sensitif de la cosa mentale. |
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