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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Denis Morrier L'équipe de Damien Guillon prend place après deux intégrales des deux Livres. Celle du Concerto Italiano (opus 111, 1993) tient toujours lieu de référence face à celle, plus négligeable, de Bettina Hoffmann (Brillant Classics, 2007). Deux anthologies méritent également d'être citées celle dirigée par Leonardo Garcia Alarcon (« Il regno d'Amore », Ricercar, 2009, avec quelques solos mémorables de Mariana Flores) et celle, historique, de la Schola bâloise, avec Montserrat Fiqueras, Nigel Rogers et René Jacobs (DHM, 1983).
Le contre‑ténor
français a cueilli un bouquet d'arie pour effectifs divers, qu'il mêle des
pièces pour clavecin ou au luth. A cette diversité séduisante répond
l'intelligence du Banquet Céleste (tempos, caractè-res, instrumentation et
réalisation de la basse continue). L'attention portée au texte es le point de
départ d'admirables raffinements expressifs. |
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