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| Appréciation d'ensemble:  | Outil de traduction (Très approximatif) | 
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Analyste:  
Philippe Venturini Pour mener à bien cette aventure sur un parcours musical hautement cahoteux, Justin Taylor a choisi un instrument d'Anthony Sidey et de Frédéric Bal, d'après un modèle de Ruckers-Hemsch ; vraisemblablement celui qu'avait retenu Blandine Rannou, qui fut son professeur, comme Olivier Baumont, au Conservatoire de Paris, pour son intégrale Forqueray (Zig-Zag Territoires). Sa sonorité généreuse et ses basses opulentes, superbement restituées par la prise de son de Ken Yoshida, se montrent le porte-voix idéal de cette parole sauvage et rauque, tapie dans la partie inférieure du clavier. 
Justin Taylor 
possède toutes les qualités pour triompher de ces pages complexes et en 
magnifier l'expression : sa façon de faire sonner le clavecin en ajustant au 
mieux les infimes décalages entre les deux mains, sa technique de fer (La 
Portugaise semble échappée d'un recueil de Scarlatti), son toucher de velours 
(les tendresses de La Sylva) et son sens du théâtre manifeste. Forqueray père et 
son rival, Marais, passaient l'un pour un ange, l'autre pour un diable. Justin 
Taylor les a réunis dans son clavecin.  | |
    
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