Texte paru dans: / Appeared in: |
|
Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction (Très approximatif) |
Analyste:
Jérémie Bigorie La Symphonie à 8 appartient en réalité au genre du concerto grosso, où le concertino donne la part belle à la virtuosité des vents. Là aussi, les instruments modernes garantissent une certaine sécurité d'intonation ; encore faut-il venir à bout de ces notes tenues, de ce joyeux babille de croches et de ces trilles dans l'aigu ! Trois musiciens issus de l'Orchestre de chambre d'Auvergne assurent sans défaut la partie de ripieno même si, dans la même esthétique, on peut leur préférer le soutien plus opulent des Dresdner Kapellsolisten vigoureusement enlevés par Helmut Branny (Sony). S'agissant des Sonates en trio, la (quasi) intégrale du Pasticcio Barocco rejoint désormais sans rougir le sommet de la discographie sur instruments modernes aux côtés de Heinz Holliger et ses amis (ECM). |
Cliquez l'un ou l'autre
bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
Click either button for many other reviews