Texte paru dans: / Appeared in:   | 
    |
| Appréciation d'ensemble:
       | 
    
     Outil de traduction (Très approximatif)  | 
    
| 
 
Analyste:  
Jérémie Bigorie 
En guise de respiration entre les motets, Johannes Hämmerle actionne la délicate 
soufflerie de l'orgue historique du Château de Gottorf (SchleswigHolstein) dans 
des pièces signées de Weckmann, Tunder et du grand Sweelinck. On goûte la 
variété des registrations au gré des passages entre un choral transcrit et des 
entrées fuguées, comme les jeux de claviers imitant une antiphonie chorale (chez 
Tunder). En dépit de leur faible effectif (trois voix au maximum), les motets ne 
sont guère avares en contrastes, fondés sur l'alternance entre une écriture en 
imitations bourgeonnantes (« Miserere mei, Domine ») ou, au contraire, plus 
homophoniques (« Laboravi in gemitu meo »). Les membres du United Continuo 
Ensemble, au risque de paraître inhibés lors des vocalises, s'attachent à 
préserver un climat intimiste et recueilli qui tient le théâtre à distance de 
l'autel.  | 
    |
    
    Support us financially by purchasing this disc from eiher one of these 
    suppliers. 
    
    
    
  
    
    FR  -  
    U.S.  - 
    UK  
    -  
    CA  - 
    DE  -  
    
    JA -  
    
    ![]()
    
         
         
        Un achat via l'un ou l'autre des fournisseurs proposés contribue à 
    défrayer les coûts d'exploitation de ce site. 
Cliquez l'un ou l'autre 
    bouton pour découvrir bien d'autres critiques de CD
 Click either button for many other reviews
    
    
 
    
    
 
    
    