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| Appréciation d'ensemble:    | Outil de traduction (Très approximatif) | 
| Analyste:
Sophie Roughol Durante voit grand : cinq solistes, un choeur à cinq voix ‑ ligne supérieure confiée aux treble d'Oxford, un ripieno alto, ténor et basse étoffant le tutti ou modifiant les textures et affects. Le tout accompagné d'un simple ensemble de cordes, de deux cors dans le bref « Tuba mirum » et d'un continuo d'orgue. Le solide contrepoint en est l'alpha et l'omega, canon sopra canon du « Pleni surit coeli » choral, canon académique du « Kyrie Eleison » ou du « Te decet hymnus », ou d'un « Et lux perpetua » plus intrigant, six voix en canon répondant au duo des sopranos. Les arias ou duos sont, de la part de celui qui ne composa jamais pour la scène, une concession à la musique profane du temps; quelques échappées dynamiques ou chromatiques (« Quid sum miser ») colorent le contrepoint. 
Le professeur 
tient ferme la main du compositeur.. et du chef: Darlington se garde bien de 
souligner les rares effets dramatiques (lourd « Mors stupebit »), mais 
laisse le ténor s'emballer dans le « Libera me ». Un concerto pour orgue 
franchement ancré dans la virtuosité du XVIlle relève un peu le menu au moment 
du dessert.           | |
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