Texte paru dans: / Appeared in:
Harmonia Mundi |
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Appréciation d'ensemble: |
Outil de traduction ~ (Très approximatif) |
Analyste: Gaëtan Naulleau ‑ Envie d'en savoir plus sur les « tontons » Bach après l'album de Vox Luminis, Diapason d'or le mois dernier ? Lionel Meunier y groupait leurs motets à un ou deux choeurs, tandis qu'il y a quelques années, Cantus Cölln se concentrait sur l’Altbachisches Archiv compilée par Johann Sebastian en l'honneur de ses aïeux ‑ et avant tout du génial Johann Christoph. Soit également des motets a cappella mais aussi des cantates d'une originalité réjouissant (le tableau de saint Michel ! la cantate de mariage !) et quelques lamentos pénitentiels, pas moins sombres que les plus noirs lieder de Wolf. L'équipe soudée de Konrad Junghänel déroute plus d'une fois par sa franchise véhémente, imperméable à la séduction, et captive tout du long par l'autorité et l'intensité du mot.
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