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Ivan A. Alexandre Retour d’un album paru il y a six ans et déjà revu dans le « Handel Portrait» en quarante disques compilé par Brilliant Classics en 2009. Malgré un joli groupe instrumental animé avec délicatesse, peu à retenir. Apollo e Dafne a été beaucoup mieux servi ailleurs; Nicola Wemyss, dans un emploi trop aigu, lave « Felicissima quest’alma » de toute espèce de charme, et son Apollon flirte avec le plus innocent - ou le plus coupable - dilettantisme. Des trésors de bonne volonté mal récompensés. Altière, distante (malin qui devinera l’origine « matelote » de cette gavotte), la musique de scène cousue d’après Rodrigo pour la pièce de Ben Jonson The Alchemist glisse élégamment, sans laisser de trace.
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